M.F.A
Kre kre kre. Ils m’ont de nouveau laissée rentrer…
Première étape : Boston.
Bon c’est vraiment juste pour quelques jours, afin de rencontrer l’architecte Andrew Sidford, CEO de ma deuxième entreprise partenaire américaine (comme d’hab je vous raconterai tout ça dans un article à part qui arrivera quand il arrivera), mais je vais quand même en profiter pour voir un peu à quoi ça ressemble. Je sais pas exactement pourquoi, mais j’ai toujours imaginé Boston comme une grosse ville industrielle ou un centre financier ultra impersonnel, bref, pas un truc transcendant à visiter.
Eh ben grosse surprise : c’est tout à fait charmant. En fait, ça ressemble un peu à Londres, et comme Londres est une de mes villes préférées (dans mon immuable top 3 avec Paris et Venise, si vous voulez tout savoir), forcément, Boston ne peut que me plaire. C’est une ville à taille humaine, avec plein de charmants immeubles en briques rouges, des petits cafés au coin des ruelles, des grandes avenues baignées de soleil, des petits cimetières remplis de vieilles pierres tombales en vrac, et je suis absolument ravie.
Mais la grosse découverte de ces trois jours à Boston, c’est le MFA. Comprenez : Museum of Fine Arts.
A l’image de la ville, ce musée est varié, raffiné, et à taille humaine.
Je redécouvre Nicolas de Staël...
Je distingue enfin Rembrandt et Rubens que j’avais toujours confondus
Je retrouve une toile de Gauguin que j’adore
Je tombe amoureuse de El Greco
...Et je comprends enfin où est passé notre patrimoine impressionniste français!