Une bonne perf’ de Perth
Après un début aussi laborieux (mais j’ai une bonne excuse, j’ai une sacré hérédité en ce qui concerne les jeux de mots malheureux… tout le monde a entendu parler du Daddy je crois!) (…et encore, vous connaissez pas le grand-père), ça ne peut que s’améliorer me direz-vous.
Eh ben je vais vous décevoir, mais NON. Je suis absolument désolée : en ce moment je suis en panne d’inspiration totale.
Ça fait maintenant cinq jours que je suis arrivée à Perth, et je n’ai toujours rien de particulièrement transcendant à vous faire partager.
Il faut dire que l’Australie c’est loin d’être l’Inde, le Népal ou l’Indonésie, il n’y a pas grand-chose à raconter finalement : pas de choc culturel brutal, pas de coutume insolite, pas de situation cocasse, pas de comportement surprenant, pas de tradition curieuse, pas de mœurs étonnant, pas de nourriture bizarre, pas de costume original, pas de dialecte particulier, pas de… (je crois que j’ai épuisé mon répertoire des synonymes du mot ‘étrange’).
En tout cas pas à Perth, qui est une ville d’une banalité affligeante : calme, agréable, ensoleillée, il fait bon y vivre et puis c’est tout.
Bref, j’ai rien à critiquer, et quand je râle pas je suis chiante comme la mort. Donc si ça ne vous dérange pas je vous laisse et je retourne profiter de la vie.
…Parce que s’il n’y a pas grand-chose à raconter, il y a un max à ‘enjoyer’ !